lundi 23 mars 2015

La « taqiyya » des imams de France | Dreuz.info | Francophone et chrétien, pro-israélien et néo-conservateur, adverse aux extrêmes et au racisme

La « taqiyya » des imams de France | Dreuz.info | Francophone et chrétien, pro-israélien et néo-conservateur, adverse aux extrêmes et au racisme

La « taqiyya » des imams de France

Tareq Oubrou - Taqqya

Tareq Oubrou – taqiyya

De la « taqiyya » des imams de France II : Rétrospective et déconstruction du discours islamique.

Une délégation d'imams de France tentant un coup d'éclat médiatique dans le dialogue interreligieux en panne sèche, a été en visite au Vatican du 6 au 8 janvier 2015, juste à la veille du massacre de Charlie Hebdo. Malheureuse coïncidence pour Tareq Oubrou, recteur de la Grande mosquée de Bordeaux, Mohammed Moussaoui, président de l'Union des mosquées de France (UMF) et ancien président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Djelloul Seddiki, directeur de l'institut Al-Ghazali de la Grande mosquée de Paris, et Azzedine Gaci, recteur de la mosquée Othman à Villeurbanne, et ancien responsable du Conseil régional du culte musulman (CRCM) de Rhône-Alpes.

À ce sujet, Mgr Michel Dubost, évêque d'Évry-Corbeil-Essonnes et président du Conseil pour les relations interreligieuses et fervent tenant du dialogue christiano-islamique avait déclaré qu'« il est bon de montrer l'entente cordiale qui se développe en France entre la majorité des musulmans et la majorité des chrétiens. La visite de ces grands leaders musulmans à Rome en est le signe ».

Un dialogue constructif avec l'islam ne peut se faire que dans une sincérité réciproque. Or, ce n'est pas du tout le cas ; c'est plutôt l'hypocrisie réciproque.

Mis à part ces bonnes paroles politicardes, l'évêque et son directeur du service pour les relations avec l'islam, Christophe Roucou, semblent ignorer un certain nombre de réalités concernant leurs amis imams Frères musulmans d'obédience ou sympathisants salafistes. Il perdent de vue le fiasco retentissant de ce monologue christiano-musulman et qu'un dialogue constructif avec l'islam ne peut se faire que dans une sincérité réciproque. Or, ce n'est pas du tout le cas ; c'est plutôt l'hypocrisie réciproque.

Il ne suffit pas à nos dignitaires religieux, fréristes (Frères musulmans) d'obédience ou de penchants, d'aller à Rome écouter, échanger les expériences et, je cite Djelloul Seddiki : « partager un moment solennel en priant Allah, d'accepter nos diversités » [entendre : islamo-communautariste], puis de regagner leurs mosquées et tenir un discours contraire et de duplicité à souhait. Les déclarations de circonstance bien tardives – et sous la pression de prélats de l'Église de France, il faut bien le dire – et les silences abyssaux au sujet des exactions atroces dont furent victimes les chrétiens d'Orient, les yazidis et autres minorités nous laissent dans le doute.

De la stratégie de la dissimulation et de l'art de la tromperie

De la stratégie de l'inversion, du travestissement de la vérité et des contre-vérités martelées

De la stratégie du déni et du discours démagogique et cynique

De la stratégie du caméléon, de la contre-offensive et de la déculturation de la France

Conclusion

À lire le texte d'un prêtre missionnaire en Afrique, « Lettre aux amis depuis l'Afrique », du 19 janvier 2015, publié dans l'Observatoire de la Christianophobie, (Opinion : "Charlie Hebdo", l'islam, les chrétiens et le déni de réalité occidental), l'on conviendra que de plus en plus de Français frappés d'islamo-nausée adhèrent à son développement.

Cette stratégie du déni a en effet pour conséquences collatérales fâcheuses une sorte de schizophrénie intellectuelle et sociale collective de la communauté musulmane de France, mais aussi une amnésie de l'histoire par la distorsion du réel, et une perception biaisée, mais surtout l'auto persuasion que le mal est exogène lorsqu'il est endogène, et constitutif de l'idéologie islamique.

Outre la stratégie de la victimisation qui consiste à rendre l'Occident responsable des échecs arabes et islamiques, les comparaisons de justification abusives et inadéquates avec la violence contextuelle dans la Bible ou avec les Croisades et les Guerres de religions, le plus grave est que les médias de France donnent très régulièrement la parole à ces manipulateurs propagandistes d'une islamo-imposture, dans le but précis de déconstruction de l'identité française, en lui greffant une identité arabe et islamique totalement fantasmées, qui ne correspondent en rien aux réalités du terrain pragmatique de l'Orient musulman actuel, et de son histoire à déconstruire.

Ce serait une grossière erreur de croire que les Frères musulmans de l'UOIF ont abandonné la doctrine jihadiste de conquête

Ce serait une grossière erreur de croire que les Frères musulmans de l'UOIF ont abandonné la doctrine jihadiste de conquête. La rhétorique démagogique et cynique de Tareq Oubrou est de se servir de ces mêmes notions que l'islam propage en France, et de les retourner contre ses détracteurs.

Le discours s'est adapté aux oreilles françaises, comme souligné en introduction.

Tout en propageant leurs idées, les Frères musulmans tentent de nous faire croire le contraire.

Ils ont eu pour objectif de quadriller systématiquement le territoire de l'Hexagone, de multiplier les mosquées sous leur contrôle, et ils tentent de modifier les mentalités.

Près des deux-tiers des mosquées posent de gros problèmes. De plus en plus de jihadistes sont en partance pour l'E.i., l'État islamique, ou Daesh, qui s'est débaptisé « État islamique en Iraq et au Levant » car il est maintenant global.

Le cas tragique de l'Égypte sauvée in extremis de la guerre civile en juillet-août 2014 devrait faire réfléchir la classe politique (droite et gauche confondus).

L'Église de France n'est pas en reste.

La Conférence des évêques de France perd elle aussi de vue ces dangers. Ni les prélats catholiques tenants de ce dialogue interreligieux christiano-musulman à sens unique, ni les intellectuels suiveurs et islamo-soumis ne perçoivent le vrai danger.

En 2012, pour les élections présidentielles en Égypte, ce sont les abstentionnistes (53,5 % au premier tour) qui ont porté Mohamed Morsi et les Frères musulmans au pouvoir. Le vote démocratique, contrairement à ce que soutiennent abusivement et subversivement les médias de France, notamment l'AFP et Radio France, n'est plus démocratique s'il débouche sur la charia.

Il est à craindre, en guise de réponse au désenchantement politique et social, et en réponse au matraquage propagandiste islamophile des médias manipulateurs de France, que les citoyens choisissent le rejet radical de la classe politique française dans sa totalité lors des prochaines élections départementales du 22 et 29 mars 2015.

L'heure est grave. Le peuple de France se souviendra sans doute de ces quarante années de trahisons.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © François Sweydan pour Dreuz.info.

 207

 52  3 Share2 Share41



Envoyé de mon Ipad 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Bienvenu