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lundi 3 juillet 2017

Il est interdit de dire la vérité sur l'Islam

"Le djihad soft est plus insidieux, plus subtil et d’une certaine façon plus dangereux et difficile à combattre que le djihad violent, car se servant habilement de notre législation, il gagne progressivement grâce à la lâcheté et l’ignorance des juges."

Puisque la France est le pays des libertés et des droits de l’homme, le pouvoir fait taire les grandes voix jusqu’à ce qu’elles se soumettent.
Après Natacha Polony qui vient de perdre ses temps d’antennes dans divers médias audio et télévisuels, l’étau se resserre autour d’Eric Zemmour qui vient d’être condamné au silence et à payer 5000 euros d’amendes par la 17e Chambre correctionnelle du Tribunal de Paris. Le polémiste avait courageusement déclaré dans l’émission « C à Vous » diffusé en septembre dernier sur France 5 que : « Le musulman modéré n’existe pas » et que « les soldats du djihad sont considérés par tous les musulmans, qu’ils le disent ou qu’ils ne le disent pas, comme des bons musulmans. » Zemmour avait ajouté qu’il fallait « leur donner le choix entre l’islam et la France (…)
Par exemple, donner un prénom qui n’est pas un prénom français à ses enfants, c’est vouloir continuer l’identité islamique et c’est vouloir transformer la France en un pays de plus en plus musulman. Pour ces affirmations Éric Zemmour, était poursuivi par l’association radicale et anti-israélienne CAPJPO-EuroPalestine. Selon le Parisien, le tribunal correctionnel a estimé que les propos poursuivis présentent “une gravité incontestable”, Éric Zemmour “stigmatisant à plusieurs reprises et en des termes particulièrement violents et péremptoires une communauté prise dans son ensemble”.
Outre l’amende, il a été condamné à verser un euro de dommages et intérêts à l’association CAPJPO-EuroPalestine, et 2 000 euros pour les frais de justice. 
Le Parisien relate également un fait autrement plus grave pour la santé mentale et morale des Français et l’avenir de notre démocratie : au lendemain de la diffusion de l’émission, l’islamiste Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF) avait incité les internautes à saisir le CSA, qui avait reçu plus de 8 000 plaintes de téléspectateurs et estimé par ailleurs que les intervieweurs n’avaient pas vivement réagi aux propos de leur invité “au regard de la gravité des propos tenus”.
Tristement, force est de constater que ce sont des auditeurs et citoyens français, qui ont initié une plainte à l’encontre de celui qui portant l’étendard de la Vérité, leur ouvrait les yeux, sur une des réalités de l’Islam. Après les procès de Pierre Cassen et de Georges Bensoussan, et avec la condamnation d’Eric Zemmour, les institutions judiciaires démontrent une fois de plus que dire la vérité sur l’Islam vous conduit directement au Tribunal correctionnel et à une condamnation assurée.
Or tous les musulmans savent que l’Islam est un tout et que l’opposition islam/islamisme est une invention occidentale. Le journaliste-écrivain et ami Salem Ben Ammar n’a eu de cesse de nous mettre en garde contre le faux distinguo entre islam et islamisme : tous les musulmans honnêtes et conscients de la dynamique infernale mise en place par les tenants du politiquement correct et les pourfendeurs de l’islamophobie savent bien que c’est l’Islam qui est à l’oeuvre derrière les crimes djihadistes
Mais la 17e Chambre du Tribunal correctionnel par cette décision inique a aussi et surtout lancé un signal d’encouragement à toutes les associations et organismes qui par des moyens divers répandent en France l’Islam et pratiquent un djihad « soft » en dénonçant au nom des droits de l’homme toute critique de l’Islam, de sa nature et de l’empreinte délétère qu’il laisse dans les cerveaux de ses adeptes.
La vérité est celle-ci : être un bon musulman c’est suivre l’Islam à la lettre et le djihad fait partie de l’Islam. Voilà ce qu’en dit Wikipedia : L’islam compte quatre types de jihad : par le cœur, par la langue, par la main et par l’épée.
 Le jihad par le cœur invite les musulmans à « combattre afin de s’améliorer ou d’améliorer la société ». Le jihad peut aussi être interprété comme une lutte spirituelle, dans le cadre du soufisme par exemple. Cette dernière interprétation a servi d’argument à différents groupes musulmans à travers l’histoire pour promouvoir des actions contre les « infidèles » ou d’autres groupes musulmans considérés comme opposants et révoltés. Néanmoins, les spécialistes du Coran s’accordent sur le fait qu’il est illégitime d’affirmer que le jihad coranique est uniquement spirituel.
Dans la France totalitaire telle que Macron est en train de la dessiner, Zemmour ne sera pas le dernier à être condamné pour avoir dit la vérité sur l’islam. Les grandes voix médiatiques sont en train de s’éteindre, les médiocres élus macroniens de l’Assemblée nationale remplacent d’anciens élus chevronnés et ténors de l’Assemblée et à la confrontation d’idées fera place la pauvreté intellectuelle et comme le dit si bien Guy Millière dans son dernier article, ce sera « l’euthanasie en pente douce ». Après le récent attentat des Champs-Élysées où un « musulman » ordinaire fiché S et entièrement libre de ses mouvements, s’est révélé être un djihadiste pur jus, la démonstration est faite qu’en France le « système sécuritaire » présente des failles béantes et que par ailleurs, le djihadiste peut se cacher sous les traits d’un riche et « honorable » négociant.
Un pavé dans la mare de l’argument vaseux d’Emmanuel Macron qui durant sa campagne présidentielle avait prétendu que le passage à l’acte chez le musulman était à mettre au compte de ses frustrations sociales dues à la pauvreté et au manque de moyens pour réaliser ses aspirations. Macron qui prétend protéger davantage les citoyens français en inscrivant dans le droit des mesures de contrôles et de rétorsion contre les terroristes, en même temps que donner une nouvelle dynamique européenne et économique à la France tout en accélérant l’immigration de réfugiés irakiens et syriens, est en train de mettre en place et de manière cynique des outils qui se retourneront de manière inéluctable contre la démocratie. Notamment, si les lois anti-terroristes sont inscrites dans la Constitution, on ne peut savoir qui sera au pouvoir dans quelques décennies ni quel usage sera fait de ces lois qui pourront se retourner contre des citoyens français devenus résistants au djihad et à l’islamisation du territoire national. En France, depuis des années les lanceurs d’alerte contre la dictature de l’Islam sont mis au ban de la société. Craignant d’être taxés d’islamophobes, les mouvements citoyens s’effondrent ici et là en Europe.
On verra si Macron tient ses promesses de « proportionnelle », mais pour l’heure, en France, Marine Le Pen, forte de ses 10,5 millions d’électeurs n’arrive pas à percer le plafond de verre et n’a que 8 représentants FN à l’Assemblée nationale où siégeront 17 musulmans. Tandis que Geert Wilders au Pays-Bas, poursuit envers et contre tous, sa croisade contre l’islamisation dans un pays sur le qui-vive qui renonce à l’intégration des musulmans, en Allemagne les mouvements contestataires à la politique d’invasion d’Angela Merkel sont bâillonnés, tout comme en Suède et au Danemark, tout comme en Angleterre où ils sont sauvagement réprimés par la police et incarcérés comme l’héroïque Tommy Robinson. Et pour clore le tout, en Suisse, Oscar Freysinger a été quasiment exclu de la vie politique.
Je ne doute pas que Macron qui mise tant sur son image à la fois de séducteur et de « souverain jupitérien », ne donne des gages à ceux des musulmans qu’il a fait entrer à l’Assemblée et aux organisations musulmanes qu’il cautionne. Je suis persuadée, qu’il ne sera pas en mesure d’endiguer la montée du djihadisme, qu’il cédera devant l’islamisation de la France et la montée des exigences de la Oumma, qui au niveau individuel et communautaire poursuit inexorablement ses buts de conquête au niveau global : il se pourrait que le quinquennat de Macron, augure de l’instauration — un jour prochain — de la République islamique de France, dans un pays entièrement anesthésié… à moins d’un sursaut populaire… Mais une chose est certaine : l’islamisation d’une nation est un piège dont il est difficile, voire impossible, de sortir. Beaucoup de musulmans le savent et nous le disent…
Ces voix ne sont pas tues pour l’heure, mais ne sont entendues que de quelques citoyens résistants. Les instances politiques et juridiques sont dans une logique de soumission à l’Islam. Ce que vient de faire la 17e Chambre correctionnelle est une fois de plus une hérésie. Mais au pays de Voltaire et Diderot, la Raison et le Bon Sens n’ont plus force de loi. Le djihad soft est plus insidieux, plus subtil et d’une certaine façon plus dangereux et difficile à combattre que le djihad violent, car se servant habilement de notre législation, il gagne progressivement grâce à la lâcheté et l’ignorance des juges.


Source : Riposte Laique
http://www.libertepolitique.com/Actualite/Decryptage/Il-est-interdit-de-dire-la-verite-sur-l-Islam

jeudi 5 janvier 2017

Notre responsabilité de critiquer l’islam

Par William Kilpatrick
jeudi 5 janvier 2017

http://www.france-catholique.fr/Notre-responsabilite-de-critiquer.html
Un lieu commun est apparu parmi les élites des médias et de la politique selon lequel la critique de l’islam ou même de l’islam radical ne pourrait servir qu’à pousser les musulmans modérés dans le camp radical.
Il faudrait remettre en question cet argument dans la mesure où il se peut aussi bien que le manque de critiques ait mené à la renaissance de l’Islam militant. Loin de critiquer l’islam, les gouvernements occidentaux, les médias, les académies, et même les Églises ont tourné leur veste pour affirmer que les atrocités commises au nom de l’islam n’ont rien à voir avec l’islam. En fait, les médias occidentaux ont adopté un système rigide d’autocensure qui les empêche d’admettre que ces atrocités sont en fait commises au nom de l’Islam.
Le récent exemple est l’assassinat de l’ambassadeur de Russie par un policier turc. Les premiers mots sortis de la bouche de l’assassin après la fusillade furent : « Nous sommes ceux qui se sont engagés vis-à-vis de Mahomet à poursuivre le Jihad ». Si vous ne vous souvenez pas de l’avoir entendu dire cela, c’est parce que cette partie de la déclaration était omise dans presque tous les compte-rendus dans la presse et à la télévision. Apparemment, nos pontes dans les médias craignent que si nous étions conscients de la dévotion de cet homme à Mahomet, nous pourrions dire quelques provocations qui convertiraient un nombre important de musulmans paisibles en jihadistes jeteurs de bombes.
Le principal exemple de la rançon du silence est peut-être la crise actuelle en Europe. Les terroristes islamistes ont déclaré la guerre à l’Europe, et il en a résulté une série d’attaques mortelles – dans les aéroports, les métros, cafés, les salles de concerts, et plus récemment, dans les marchés de Noël. Tout cette destruction est le résultat indirect de l’ignorance sur l’islam – une ignorance qui, à son tour, est le résultat d’un black-out presque total sur les nouvelles défavorables à l’Islam.
Quiconque ayant une compréhension approfondie de la culture et de la religion de l’islam aurait pu prédire que, même sans le flux de migrants musulmans en 2015-2016, l’arrivée régulière d’immigrants musulmans au cours des années créerait une situation explosive. Il est étonnant que les conséquences de cette migration massive n’aient jamais été discutées – sauf en des termes élogieux. La seule chose que l’on avait le droit de dire à propos des migrants était qu’ils résoudraient les pénuries de main-d’œuvre, rempliraient les coffre-forts, et apporteraient un enrichissement culturel à l’Europe.
Ceci était la ligne officielle. Ceux qui déviaient de ce message pouvaient s’attendre à être censurés, perdre leur emploi ou même être traînés en justice. Dites quelque chose de négatif au sujet de l’immigration musulmane sur les pages de votre Facebook, et vous recevez la visite de la police. Dites-le en public et vous êtes convoqué au tribunal. Peu importe si vous étiez un écrivain célèbre (Oriana Fallaci), le président de la Société de la presse libre danoise (Lars HedeGaard), ou un membre populaire du Parlement danois (Geert Wilders). Si vous ne pouviez pas dire quelque chose de gentil à propos de l’islam, vous ne devriez rien dire du tout.
En ce qui concerne l’Europe, l’idée que la critique de l’islam donnera naissance à une armée de radicalisés ne tient pas. La critique de l’islam est essentiellement un crime dans beaucoup de parties de l’Europe, et l’a été depuis très longtemps. En Europe, peu nombreux sont ceux qui osaient critiquer l’islam, mais les radicalisés sont venus malgré tout. Plus que tout autre chose ce fut le silence qui a permis à l’islamisation et à la radicalisation de se propager en France, Allemagne, Belgique, aux Pays-Bas et en Suède.
Pratiquement plus personne ne parle de migrants flottants, de tribunaux de la charia, de polygamie, de mariages forcés, de refus de s’intégrer, de vague de crimes, ou de vagues de viols. Maintenant que beaucoup sont finalement en train de commencer à dénoncer cet état de chose, il semble que c’est trop tard pour éviter une capitulation (comme le sort de la Suède) ou un conflit sanglant (pareil à celui de la France).
Le véritable argument que la critique de l’islam amènera des modérés dans le camp des radicaux, suggère que la critique est une nécessité. Si l’Islam est tel qu’une religion à la gâchette facile où l’offense la plus légère puisse radicaler ses adeptes, il y a quelque chose de radicalement faux dans la religion elle-même. Nous ne craignons pas que le fait de critiquer le catholicisme mène à produire de grands rassemblements de catholiques furieux se déchaînant dans les rues. Nous ne craignons pas qu’un mot incorrect provoque un jeune Baptiste du sud à sangler une ceinture-suicide.
L’islam invite à la critique. Compte tenu de son sanglant présent et passé. Ce serait hautement irresponsable de ne pas le soumettre à l’analyse et à la critique. Une telle critique n’aurait pas pour objet d’exclure les musulmans (bien que certains seront inévitablement exclus) mais d’alerter les victimes potentielles du Jihad.
Une des notions basiques que les non-musulmans doivent connaître, c’est que l’islam divise le monde en deux parties – le Royaume de l’Islam et le royaume de la Guerre (toutes les sociétés non islamiques). Et on attend de chaque musulman qu’il prenne sa contribution à soumettre les non-islamiques aux États islamiques. Les Européens sont maintenant en train d’éprouver un sens de « je ne sais pas ce qui m’a frappé » car ils n’avaient jamais enregistré ce fait basique au sujet de l’islam.
La raison de notre réticence à analyser et à critiquer l’islam et ses idées, est que cette critique équivaut à critiquer les musulmans (un peuple). Malheureusement, c’est souvent ce qui se passe, même si ce n’est pas notre intention. On ne peut pas se séparer complètement de ses croyances, et, par conséquent, nous prenons les critiques de notre religion pour nous-mêmes. C’est une bonne raison pour formuler nos critiques avec autant de tact que possible. Mais ce n’est pas une bonne raison de ne pas faire de critiques du tout.
Si on ne peut pas critiquer un système de croyances parce que cela heurterait les sentiments de ceux qui adhèrent à ce système, il aurait été mal de critiquer le nazisme, le communisme et l’impérialisme japonais. D’habitude nous nous abstenons de critiquer les autres religions. Une telle approche de vivre-et-laisser-vivre est sensée, mais lorsque l’autre religion considère que vous devez soit vous convertir, soit vous soumettre ou mourir, alors vivre-et-laisser-vivre n’est plus une option. C’est dans cette position que nous sommes vis-à-vis de l’islam. Et c’est suicidaire de prétendre qu’il en est autrement.
Tableau : La Fuite en Egypte par Vittore Carpaccio, c. 1515 [National Gallery, Washington, DC]
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William Kilpatrick est l’auteur de Christianity, Islam and Atheism, The struggle for the Soul of the West (http://amzn.to/2esgVrc), et un nouveau livre, The Politically incorrect Guide to Jihad (http://amzn.to/2e6asB1). Pour plus d’information sur ses oeuvres et ses écrits, visitez son site, The Turning Point Project (http://turningpointproject.com).