mardi 26 mars 2013

Theologie de la liberation








[  RETOUR ]













[  RETOUR ]





jeudi 21 mars 2013

Les réfugiés Syriens fuient le viol islamique légal codifié du Djihad : Observatoire de l'islamisation

Un rapport de l' International Rescue Committee publié en Janvier incluant des enquêtes auprès des Syriens réfugiés au Liban et en Jordanie relève "le viol comme une des principales raisons pour lesquelles les familles fuient le pays." Il y a moins de deux semaines, Erika Feller, assistante du Haut Commissaire  pour la protection des réfugiés de l'ONU , a expliqué en rendant compte au Conseil des droits humains à Genève, "Ce déplacement n'est pas seulement dû à la perte de maisons et à l'insécurité économique. Il est également accompagné par des crimes fondés sur le sexe, l'agression délibérée des femmes et des enfants, et un large éventail de violations effrayantes de la dignité humaine. "Plus précisément a-t-elle ajouté,« Les rapports révèlent que le conflit en Syrie est de plus en plus marquée par le viol et la violence sexuelle utilisée comme une arme de guerre pour intimider les parties au conflit destruction de l'identité, la dignité et le tissu social des familles et des communautés."

L'IRC, la Haute Commission de l'ONU pour les réfugiés, Amnesty International et le Comité Syrien des droits signalent régulièrement que le viol et les agressions sexuelles sont en jeu dans cette catastrophe;

Le "Under Siege Womens Project", qui permet de suivre l'incidence des viols dans les zones militarisées, a collecté et cartographié des incidents de viols et de violences sexuelles se déroulant en Syrie depuis Avril 2012.  Cela ne veut pas dire viols ont été commandés par le régime d'Assad (bien que le Comité Syrien des droits humains a documenté des viols), mais la documentation en terme de viols et la violence sexuelle par des observations détaillées recueillies par des journalistes, des chercheurs, des médecins et des militants. Selon Lauren Wolfe, directeur du Under Siege Womens Project et un journaliste d'investigation, les victimes vont des femmes  âgées aux bambins et aux hommes quinquagénaires. Quatre-vingt pour cent d'entre eux sont des filles et des femmes - dont beaucoup sont attaquées à la maison, aux points de contrôle et d'ailleurs en public. Les hommes et les garçons sont plus susceptibles d'être agressées en détention. Un rapport décrit le traitement pour le viol de plus de 2.000 jeunes filles et des femmes syriennes à Damas, dont certaines ayant 7 ans. Bien anecdotiques, des histoires comme celles-ci sont corroborées par la première personne en charge des réfugiés  à l'International Rescue Committee, le Comité Syrien des Droits Humains et Human Rights Watch.

Après avoir échappé agressions en Syrie, les filles et les femmes face à l'insécurité supplémentaire des camps de réfugiés chaotiques. Les rapports des organismes énumérés ci-dessus décrivent les victimes sont tuées par leurs familles pour l'honneur, s'il n'est pas tué, d'autres sont poussés à se suicider. D'autres sont mariées, souvent à des hommes plus âgés dans les pays d'accueil, pour sauver l'honneur, y compris les filles aussi jeunes que 14 ans. Bon nombre de ces mariages sont forcés et donc suivis d'autre viols.

Dans la tradition sunnite, les lois de la guerre sont parfaitement codifiées. Les femmes de la partie adverse, arabes ou non, font parties du "butin de guerre" des djihadistes. Le principal ouvrage de jurisprudence malékite, Al-Muwatta' du juriste Malik ibn Anas, en vente libre à la FNAC ou à l'Institut du Monde Arabe, est très clair sur le sujet. Voici ce qu'on peut y lire à la page 450 de la traduction française de Muhammad Diakho des éditions Albouraq (acheté à la Fnac de Rouen!) : 

   (1262) 95- « Ibn Muhayriz a rapporté : « j'entrai à la mosquée et à la vue de Abû Sa'îd al-Khudrî, je m'assis près de lui et je lui demandai au sujet de l'éjaculation en dehors de l'utérus. Il me répondit : « Nous quittâmes Médine avec Mahomet dans une expédition contre les Banû al-Muçtaleq. Nous prîmes pour captives les meilleures femmes arabes. Comme nous les désirions, et que nous souffrions de notre célibat, nous avions voulu avancer des rançons en échange des captives, puis de cohabiter avec elles en éjaculant en dehors de l'utérus. Alors, nous nous dîmes : « Ferons nous cela sans le demander à Mahomet qui est parmi nous ? » En le lui demandant il répondit : « Il n'y a pas de mal à faire cela » »

Le lundi 17 décembre 2007, Rima Elkoury, journaliste canadienne au magazine La Presse, dans un article intitulé Du voile et du viol  s'étranglait de ce qu'on enseigne dans les « centres culturels musulmans »: "Mets un voile, sinon tu pourrais être violée. C'est ce que l'on recevait comme message jusqu'à tout récemment sur le site Internet du Centre communautaire musulman de Montréal, sous une rubrique visant à informer l'internaute non voilée des supposés dangers liés à sa condition"

Observatoire de l'islamisation, 20 mars 2013

http://www.islamisation.fr/archive/2013/03/20/les-refugies-syriens-fuient-le-viol-islamique-legal-codifie.html


Envoyé de mon iPad jtk

Allahïcité et dhimmitude - Nouvelles de France Portail libéral-conservateur

« La Cour de cassation foule littéralement aux pieds un principe de laïcité qui finit par s'user pour avoir trop peu servi, ce pour ménager la chèvre islamique et le chou républicain. »

Ce relativisme mortifère, aux fins de ne pas « stigmatiser » ceux qui sont « chez nous, chez eux », selon la cynique formule de Mitterrand, est la suite logique et irréversible d'un laxisme d'État qui a laisser le voile et aujourd'hui leniqab voir le hijab, envahir peu à peu l'espace public. « Le foulard est ainsi devenu un instrument au service d'une ambition politique, un moyen de tester les capacités de résistance de l'État français », écrivait Rachid Kaci dans La République des lâches – La faillite des politiques d'intégration (Édition des Syrtes, 2003). Dès lors, notre laïcité qui s'est construite, rappelons-le, en opposition violente au catholicisme a dévoilé son vrai visage « d'allahïcité », c'est-à-dire de grande complaisance vis-à-vis de l'ennemi historique de la chrétienté, l'islam. Tariq Ramadan ne s'y trompe pas quand il affirme, d'ailleurs, que « l'islam n'est pas une religion comme le judaïsme ou le christianisme. L'islam investit le champ social. Il ajoute à ce qui est proprement religieux les éléments du mode vie, de la civilisation et de la culture » (4). Dit autrement, l'islam est incompatible avec la laïcité. Tout en étant sa fille naturelle. Car la loi de 1905 portait manifestement en germe cet instrument effroyable d'écrasement de tout ce qui pouvait, nolens volens, rattacher notre peuple, croyant ou non, à sa longue histoire inséparable, depuis Clovis, de celle de sa première (et longtemps unique) religion. On conchie le pape, on détruit nos églises non entretenues mais on laisse s'ériger des mosquées, tandis que nos centres urbains et péri-urbains sont de plus envahis par des sandwicheries « kébabs », des boucheries islamiques, des magasins de téléphonie, des salons de coiffure communautaires et autres supérettes du même tabac.

http://www.ndf.fr/identite/20-03-2013/allahicite-et-dhimmitude


Envoyé de mon iPad jtk

dimanche 17 mars 2013

L'agression contre 4 cheikhs à Beyrouth et dans la banlieue-sud : cas isolés ou préméditation? | À La Une | L'Orient-Le Jour

La guerre indirecte que sunnites et chiites libanais se livrent en Syrie et pour les Syriens a-t-elle désormais pris un tournant d'une gravité inégalée, où tout, aujourd'hui, est dramatisé à outrance ? Est-ce que les attaques (quasi simultanées) contre des cheikhs sunnites dans la capitale et dans la banlieue sud par des « voyous chiites drogués » ont-elles été préméditées, organisées, ou ne sont-elles qu'incidents isolés et sans conséquence(s) ?
Hier en milieu de soirée, Mazen Hariri et Ahmad Fakhran, deux cheikhs de Dar el-Fatwa qui quittaient la mosquée Mohammad el-Amine au centre-ville de Beyrouth, ont été agressés par trois individus au niveau de Khandak el-Ghamik et de Basta el-Tahta. L'un des cheikhs a même vu sa barbe rasée de force. Ils ont été transportés à l'hôpital Makassed autour duquel, quelques minutes à peine plus tard, un attroupement s'est formé. La tension était extrêmement palpable, selon plusieurs riverains interrogés par L'Orient-Le Jour.

Plus encore : des jeunes de la communauté sunnite n'ont pas tardé à couper de nombreux axes routiers, tant au niveau de la corniche de Mazraa qu'à Tarik Jdidé et Kaskas, ainsi que sur les voies menant à la Cité sportive, pour protester contre ces agressions. Une reporter de la chaîne de télévision al-Jadeed a même indiqué avoir été avec ses collègues victimes de la colère des jeunes sunnites, « tellement que l'un d'entre nous a juré appartenir à la MTV pour ne pas être frappé »...

Une tension et une colère qui a décuplé avec l'arrivée, vers minuit, de cheikh Ahmad el-Assir à l'hôpital Makassed. Il s'est adressé aux présents et a demandé aux jeunes de rouvrir les routes qu'ils avaient paralysées et de « laisser l'État faire son travail ». Notons à ce sujet qu'aucun officiel ou aucun député de Beyrouth, à l'exception de Nohad Machnouk, ne s'est rendu à l'hôpital auprès des deux cheikhs. Et, naturellement, de hauts cadres de Dar el-Fatwa, dont l'un d'eux, cheikh Hicham Khalifé, a appelé les pouvoirs politiques, qu'il n'a pas hésité à incriminer, à assumer leurs responsabilités et à tenir une réunion de grande urgence.
L'un des deux cheikhs agressés, de son lit d'hôpital, a raconté qu'il était sur une mobylette avec son collègue et qu'à deux reprises, notamment au niveau de la montée de l'hôtel Phoenicia, l'armée, qui avait multiplié les barrages en raison de la commémoration du huitième anniversaire du 14 Mars au BIEL, leur a conseillé de changer d'itinéraire et de se rendre à destination via Khandak el-Ghamik.

Sanctions
En attendant, le mufti de la République, cheikh Mohammad Rachid Kabbani, a naturellement vivement condamné ces actes et appelé à un « maximum de calme », tout en reconnaissant que les agresseurs « sont arrivés aux portes de Dar el-Fatwa ». Il a cependant exhorté les Beyrouthins à « tout faire pour éviter la guerre civile » et à attendre les résultats de l'enquête.


Quant au Hezbollah et à Amal, ils ont publié un communiqué conjoint condamnant très fermement ce qui s'est passé et assurant que les fautifs, « quelle que soit leur appartenance, doivent être sanctionnés ». Leurs milieux assuraient à tour de bras que ces voyous n'avaient rien à voir avec leurs formations respectives et que c'étaient des « voyous drogués ». Une explication relayée sur les écrans de télévision par l'imam chiite de Khandak el-Ghamik, qui a appelé au calme avec beaucoup de véhémence.


À tel point que les sources proches d'Amal ont répété à plusieurs reprises que le mouvement de Nabih Berry a tout fait pour aider l'armée à arrêter les voyous. L'armée a publié un communiqué peu avant minuit pour affirmer qu'elle a arrêté les trois agresseurs de Khandak el-Ghamik : Hassan Hammoud, Hassan Kaakour et Hassan Baalbacki. Le ministre de l'Intérieur a confirmé ces arrestations et les enquêtes immédiates qui ont été diligentées, assurant que le Hezb et Amal ont effectivement redoublé d'efforts pour aider les forces de sécurité.

Plus encore : quelques minutes à peine après l'incident de Khandak el-Ghamik, l'uléma Chahhal de Tripoli annonçait que deux autres cheikhs qui se rendaient à Majdel Anjar ont été agressés au niveau de Chiyah. L'armée et le ministre Charbel ont assuré que leurs agresseurs, au nombre de deux, ont également été arrêtés. Il n'en reste pas moins que ce deuxième cas reste encore flou : les rumeurs affirmaient au départ qu'ils ont été agressés dans la Békaa. Le tir a été rectifié ensuite : après l'attaque dont ils ont été la cible, les deux cheikhs malmenés ont été emmenés à la Békaa.
En attendant, à l'heure de mettre sous presse, l'armée multipliait ses patrouilles dans le très grand périmètre incriminé, pendant qu'autour de l'hôpital des Makassed, la foule ne désemplissait pas.

Envoyé de mon iPad jtk